Trouvé sur un blog ayant pignon sur rue :
« Si cela, ne vous fais pas rire, je ne vous en voudrez pas si vous partez. »
Cela, apparenté à la troisième personne du singulier. Le verbe qui lui est accolé est donc accordé en conséquence : Cela ne vous fait pas rire.
Je, première personne du singulier, entraîne, au futur simple, un accord en ai. Je ne vous en voudrai pas… la douce tentation étant de considérer le vous qui précède et de se laisser aller à y mettre un ez du plus bel effet.
Mais ne nous fâchons pas avec les fautes, elles font partie de la beauté de notre langue. Si celles-ci n’existaient pas, comment pourrions nous nous rendre compte de sa belle complexité ?
Votre serviteur fera tout pour ne pas laisser de fautes, mais s’il en restait une, ou plusieurs, ne pas hésiter à le faire savoir.