La plainte des chefs d’entreprise allemands passent le Rhin pour arriver à nos oreilles françaises. L’objet de ce mécontentement c’est le salaire minimum instauré pour leur salariés.
Fini le taux horaire à 4 euros, finis les profits engendrés par la balance commerciale positive. Le moment est venu de partager la manne financière avec celles et ceux qui la supportent aussi, les ouvriers.
D’ailleurs, le monde des laissés-pour-compte est loin d’être un jour en voie de disparition. Le quasi esclavage industriel dans lequel se trouvent les petites mains de la planète est omniprésent.
Alors à quand un salaire minimum mondial ?